Faites en sorte que votre robe d'été soit prête pour l'hiver en la superposant à un haut à manches longues. Si vous voulez montrer un peu de peau, choisissez une pièce plus transparente.
"Eliza : La demande en mariage à Paris était assez romantique, mais je pense que ce sont les petites choses qu'il fait tous les jours, les étreintes et les baisers furtifs, qui font que c'est toujours romantique et amusant. Avec des enfants en bas âge, une entreprise commune et une pandémie, il est facile d'oublier ces petites choses. Il est fougueux, passionné et prêt à se battre pour l'amour. Je pense que c'est romantique.
Une robe n'est jamais qu'une robe. Symbole d'une identité sociale et culturelle à plusieurs niveaux, une robe, ou tout ce que l'on met d'ailleurs, révèle quelque chose d'intime sur la personne qui la porte. La robe Pippa de la créatrice montréalaise Eliza Faulkner ressemble à une version contemporaine du "power dressing", un terme né dans les années 1970 qui trouve son origine dans le tailleur Chanel des années 1920, considéré comme un style de mode qui "permet aux femmes d'asseoir leur autorité dans un environnement professionnel traditionnellement dominé par les hommes" (merci, Wikipédia). La façon dont nous nous habillons, exprimons et articulons notre genre a heureusement évolué, mais j'apprécie toujours une référence vintage lorsqu'il s'agit de mode, surtout si elle implique un décolleté en nœud papillon avec des surpiqûres d'un vert éclatant.
Le rouge et le rose se marient harmonieusement dans ce haut à nœuds destiné à la Saint-Valentin. Associez-le à un pantalon noir simple et à des accessoires élégants, comme des chaussures plates beiges et des boucles d'oreilles en perles.
"Étant donné qu'il fait très froid à Montréal, j'ai conçu ces vêtements dans un but plus pratique", explique Mme Faulkner, ajoutant qu'elle était heureuse d'utiliser le tissu supplémentaire. "Je pense que le tissu a atteint son apogée, mais il est aussi très pratique, surtout dans un endroit aussi froid que Montréal, où l'on porte déjà tellement de couches. C'est agréable de n'avoir qu'une seule chose à mettre."
"Les cagoules froufroutantes et fonctionnelles de Faulkner sont fabriquées à partir d'un mélange doux et chaud de laine et de Tencel. Elles sont très légères, ce qui, selon Faulkner, en fait la parfaite pièce de superposition ludique."
Aujourd'hui, la cagoule est associée non seulement au fait de tenir chaud, mais aussi au fait d'être apocalyptique. connotations. Ses qualités de protection et de dissimulation rendent la coiffe presque inquiétante - pensez à Purgemais en les mettant à la mode.
Le racisme et l'islamophobie continuent de contribuer aux attitudes négatives à l'égard du port du voile. Au Canada, lalégislationempêche les communautés musulmanesde porter des couvre-chefs et des visages culturels tels que les hijabs et les turbans. Les mandats de port de masques en cas de pandémie ont suscité des discussions sur le fait que les groupes racialisés, en particulier lescommunautés noires (), font depuis longtemps l'objet d'un profilage en raison de leur port de vêtements couvrants.
Lors de cet événement, qui avait lieu à la Société des arts technologiques (SAT), La Grappe métropolitaine de la mode ainsi que de grands acteurs de l'industrie - dont François Roberge, président de la Vie en Rose et du conseil d'administration de mmode - ont décerné un total de 14 bourses d'une valeur de 10 000$ chacune à des entrepreneurs et des créateurs de la relève mode québécoise.
Un aperçu des participants ? Marie-Ève Lecavalier, qui a été récompensée pour la force du rayonnement international de sa marque, mais aussi Eliza Faulkner, Betina Lou, Maguire, Marigold, et beaucoup d'autres.
Depuis le lancement de sa marque éponyme, en 2012, Eliza Faulkner peaufine son art. Elle joue avec les volumes, qui viennent gonfler ses robes et les manches de ses hauts colorés, et ose les nuances franches. Sa collection printemps-été 2021 n'y fait pas exception. "Je ne suis jamais vraiment satisfait de mon travail, et c'est pour ça que je continue, nous confie la créatrice. J'essaie toujours d'améliorer mes créations, c'est un projet sans fin." Son style est original et facilement reconnaissable. Ce talent, Eliza Faulkner l'a notamment développé sur les bancs de la Central Saint Martins, célèbre école de mode de Londres où sont aussi passés Stella McCartney, Alexander McQueen, Phoebe Philo, Christopher Kane et bien d'autres.
La grande dame de la politique a fait preuve de diplomatie en optant pour une robe moutarde à 249 dollars de la créatrice canadienne Eliza Faulkner, respectueuse de l'environnement, qui fabrique et s'approvisionne à Montréal.
Il est plutôt inhabituel pour un designer d'avoir un studio vide. Mais dans le cas d'Eliza Faulkner, cela fait partie de son prochain déménagement : Elle vient de prendre possession d'un nouvel espace plus grand dans le quartier historique du vêtement de Montréal, le centre d'une industrie de la mode locale à nouveau florissante. Toute sa collection est fabriquée à moins d'un pâté de maisons de son studio - elle n'a qu'à traverser la rue pour se rendre dans les ateliers qui coupent et cousent chaque pièce. L'approche hyperlocale de Faulkner en matière de production, associée à ses silhouettes ultra-féminines, est exactement ce qui a permis à cette marque locale de passer du statut de hobby à celui d'entreprise.
La créatrice qui a étudié le design de mode et le marketing au Central St. Martin's College of Art & Design fait dans l'ultraféminin (ce qui n'empêche pas son partenaire et conjoint Arin de poser dans ses robes !) avec des volumes imposants, des manches bouffantes et des volants. Ses pièces en coton ouaté sont dans la continuité de ce style si reconnaissable et en font sans doute la plus distinctive des collections de " mou " de la saison. Et notre coup de cœur absolu. Le pantalon taille haute (offert en gris chiné, en " avoine " et en rose) a la jambe longue et très large. On s'y installe avec bonheur pour traîner dans la maison, mais aussi pour en sortir (faire les courses, quoi d'autre ! ?), avec un bottillon à talon. Trois modèles de hauts tout doux s'y assortissent, le premier avec col montant froncé et manches bouffantes, le deuxième avec col large, manches raglan et boucles ajustables aux poignets et le dernier, un chandail à capuche surdimensionné.
L'organisation s'est associée avec le magazine Fashion afin de lancer un évènement unique de magasinage en ligne, intitulé Wear Canada Proud.
L'idée : une vente de 48 heures, les 16 et 17 juin, afin de soutenir les créateurs canadiens, durement touchés par la pandémie.
C'est plus de 100 marques canadiennes - dont un grand nombre de marques québécoises comme UNTTLD, Marie Saint Pierre, Eliza Faulkner, Judith & Charles ou Fumile - qui seront de la partie avec leurs vêtements, bijoux et accessoires.
Eliza Faulkner sera la prochaine à y accrocher sa nouvelle collection. Il y aura d'ailleurs une soirée-rencontre avec la créatrice montréalaise le jeudi 4 novembre. Pour l'occasion, la boutique sera ouverte jusqu'à 21 h.
Avec son luxueux mais ludique jacquard jaune canari, son lin rose, son coton brodé blanc et ses cotons fleuris, la collection printemps-été d'Eliza Faulkner ne laisse planer aucun doute sur l'excitation que provoquait l'arrivée du beau temps chez la designer.
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